Profession de foi pour les conseils centraux :
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mardi 2 novembre
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Jeudi 15 juillet, 12h30-13h30
La formation continue
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Nos candidats
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Les visages de Réunis
Reunis avance grâce à vous
Anti-bilan du bilan de l’équipe décanale de la Faculté des Sciences et Ingénierie (FSI)
Réunis conteste le bilan rédigé par une partie de l’équipe décanale (le doyen et des vices-doyennes et des vices-doyens) de la faculté des Sciences et Ingénierie.
L’analyse factuelle que nous vous proposons ne se veut pas exhaustive, elle ne reprend pas les nombreux aspects qui posent problème dans ce bilan à charge réalisé par l’actuelle équipe décanale.
Quatre exemples permettent d’illustrer parfaitement l’état d’esprit général et le fonctionnement d’une partie de l’équipe décanale qui s'est inscrite dans une dynamique de repli facultaire et absolument pas dans une volonté de construction collective et en confiance de notre université et de ses trois facultés. Cette partie de l’équipe décanale se retrouve en soutien de la liste Agissons menée par Stéphane Régnier.
L’analyse factuelle proposée par Réunis ne remet en rien en cause le travail considérable réalisé par les différentes communautés au service de toutes nos missions.
3 doyens, 2 visions
Alors que le doyen de la faculté des Sciences et Ingénierie se plaint en permanence de ne pas avoir été associé aux décisions concernant l’ensemble de l’université, aspect longuement développé dans son bilan, le doyen de la faculté des Lettres écrit quant à lui dans le sien : « Le premier aspect sur lequel je veux insister est que j’ai toujours eu avec le président et avec les autres doyenne et doyens des facultés des relations cordiales, régulières, franches. J’ai été associé à toutes les décisions concernant les choix de l’ensemble de l’université. » Le doyen de la faculté de Médecine confirme cette vision dans son propre bilan.
Les plaintes répétées et non partagées, ainsi que l’attaque mensongère systématique de la gouvernance de l’université par une partie de l’équipe décanale de la FSI, ont détérioré les conditions de travail pour un certain nombre d’entre nous et notamment au sein des conseils et services de la FSI.
Veut-on poursuivre ce mode de fonctionnement pour notre université qui conduit à l’auto-marginalisation de la FSI ?
Une faculté déconnectée de l’ensemble de l’université
L’actuelle équipe décanale de la faculté des Sciences et Ingénierie fait souvent comme si elle oubliait qu’elle fait partie d’un collectif, qu’un certain nombre de décisions sont collégiales, communes à l’ensemble de l’université et de ses facultés. Quand on lit dans le bilan de cette équipe : « Le décanat a néanmoins fait le choix dans ce contexte de maintenir les crédits récurrents de 6,7 M€ pour les laboratoires de recherche et de 3 M€ pour les départements de formation et les composantes », elle omet délibérément de préciser que les répartitions des budgets de recherche (aux unités) et de formation (aux départements) sont votées à la commission recherche et à la commission formation et vie universitaire de l’université. Le choix de maintenir les crédits récurrents, choix sur lequel s’était engagé Réunis en 2017 et sur lequel nous restons engagés, est le résultat d’une décision prise collégialement pour l’ensemble de l’université.
Veut-on une équipe décanale prête à déformer la réalité pour tirer un bénéfice politique d’une décision portée par l’ensemble de la communauté ?
Une remise en cause du projet de Sorbonne Université et de l’Alliance Sorbonne Université
Quand on lit dans le bilan de l’équipe décanale de la FSI : « toutefois, aucune contribution de ces fonds (référence à l’Idex) n’est inscrite au budget initial de la FSI tel que voté dans les différents conseils et ces financements ne font l’objet d’aucun dialogue politique permettant de partager une vision consolidée au niveau de la faculté », l’équipe décanale essaie de faire oublier l’organisation mise en place et son fonctionnement.
Le pilotage de l’Idex/PIA est assuré par le comité des membres de l'Alliance Sorbonne Université constitué des représentants des membres de l'Alliance incluant les trois doyens et d'un conseil académique. Le doyen de la FSI est consulté sur toutes les orientations et ventilations budgétaires au même titre que les autres membres du comité des membres. Par ailleurs, inscrire dans le budget initial d’une faculté des fonds qui sont alloués en fonction des résultats de l’appel à projets plateforme, de l’appel Emergence, des programmes doctoraux, des mobilités, etc. et qui concernent l’ensemble des membres de l’Alliance Sorbonne Université est une absurdité.
Contrairement à ce que dit l’équipe décanale de la FSI, le niveau de dépenses des crédits Idex est bon, les reports correspondent à des actions pluriannuelles budgétisées (pour permettre notamment une certaine souplesse dans leur utilisation, ce dont nous rêvons toutes et tous pour mener à bien nos missions).
Veut-on une équipe décanale qui remette en cause le fondement même du projet interfacultaire et inter-membre de l'Alliance Sorbonne Université pour lequel nous avons été lauréat du PIA ?
Une méconnaissance du fonctionnement budgétaire
Quand cette même équipe suggère d’utiliser le fonds de roulement de l’établissement pour son fonctionnement : « L’université dispose de ressources significatives pour le fonctionnement, ... , son fonds de roulement passé de de 41 M€ à 96 M€ entre le 1er janvier 2018 et le 31 décembre 2020. Augmenter le budget de la Faculté pourrait passer par la mobilisation de ces différentes ressources”, elle méconnaît ce qu’est un fonds de roulement, comment il est constitué, à quoi il sert et quel doit être son niveau.
Le fonds de roulement doit couvrir les besoins d’investissements et de trésorerie, il doit également permettre de payer les salaires en priorité en cas de problème grave.
À Sorbonne Université, il correspond à 40 jours de charges décaissables (essentiellement les salaires : près de 42 millions d’euros mensuel). C’est un taux raisonnable, mais qui n’est pas énorme… dans le public, la norme est à 2 mois. La moyenne des universités de l’ex-CURIF (13 universités similaires à SU) est à 44 jours en moyenne sur 5 ans (2014-2018). En 2018, il était à Sorbonne Université de 78 millions d’euros, en 2020, de 96 millions d’euros en prévision d’investissements, il est de 75 millions en cette fin d’année.
Veut-on une équipe décanale qui puisse mettre en péril le fonctionnement budgétaire de notre université et sa capacité à gérer d’éventuels problèmes ?
Les 16 et 17 novembre, votez la liste Réunis portée par Guillaume Fiquet, pour une faculté des Sciences et Ingénierie forte, responsable, engagée au service d’un collectif et d’une construction commune de notre université.